Un crime au paradis
Un crime au paradis

SYNOPSIS
La fiche technique
La distribution
SYNOPSIS
La fiche technique
La distribution
Le film est inspiré de faits réels : la cavale sanguinaire de Joseph Vacher qui a tué au moins une vingtaine de personnes à la fin du xixe siècle. Vacher est un personnage historique bien connu des criminologues, qui peut être considéré pour la France comme le pendant de Jack l’Éventreur pour l’Angleterre. Bouvier a même accroché dans sa cellule une affiche du Petit Journal de 1898 montrant un homme agressant une jeune femme, titrée : « Un nouveau Vacher ».
SYNOPSIS
Un juge de province le suit patiemment à la trace et finit par obtenir son arrestation sur base d’un signalement composé à partir de témoignages. En obtenant la confiance de Bouvier, le juge obtient aussi de lui des aveux complets. Bouvier pense qu’on va le soigner, l’aider à ne plus souffrir, mais le juge ne croit pas à sa folie et fait tout pour obtenir sa condamnation à mort.
LA FICHE TECHNIQUE
Le film raconte le calvaire d’Alain Marécaux – “l’huissier” de l’affaire d’Outreau – arrêté en 2001 ainsi que sa femme et 12 autres personnes pour d’horribles actes de pédophilies qu’ils n’ont jamais commis.
C’est l’histoire de la descente en enfer d’un homme innocent face à un système judiciaire incroyablement injuste et inhumain, l’histoire de sa vie et de celle de ses proches broyée par une des plus importantes erreurs judiciaires de notre époque.
LA FICHE TECHNIQUE
Titre : Présumé coupable
Réalisation : Vincent Garenq
Scénario : Vincent Garenq, d’après l’oeuvre d’Alain Marécaux
Producteur : Christophe Rossignon
LA DISTRIBUTION
Philippe Torreton : Alain Marécaux
Noémie Lvovsky : Edith Marécaux
Wladimir Yordanoof : Me Hubert Delarue
Raphaël Ferret : Le juge Burgaud
Michelle Goddet : Thessy
Farida Ouchani : Myriam Badaoui
Olivier Claverie : L’avocat général
Kevin Tholliez : Thomas
Loris Rouah : Sébastien
Charlotte Ghristi : Cécile
La fiche technique
La distribution
Ce film a la particularité d’être organisé autour d’un fil dramatique très classique ce qui le rend plus accessible que d’autres œuvres de Bresson. Un condamné à mort s’est échappé présente donc une ressemblance de surface avec les films relevant du genre de l’évasion. Mais la grande spécificité du film est d’insister sur les enjeux moraux et spirituels de cette évasion.
Le film est salué comme étant le meilleur film de Jacques Becker ; il est salué comme un chef-d’œuvre par François Truffaut. L’attention donnée aux détails des préparatifs de l’évasion éclipse presque le jeu des acteurs pour donner au film un caractère de documentaire.